Giro d’Italia 2023, Geraint Thomas : « Prêt pour les trois prochaines étapes »

Geraint Thomas vit aujourd’hui une journée tranquille au Giro d’Italia 2023. L’étape de Caorle, journée pour sprinteurs avec la finale à Caorle fixée au milieu de quatre étapes alpines, a permis au leader des Ineos Grenadiers de reprendre son souffle après reprenant la tête hier Maglia Rosa, en attendant de devoir la défendre sur les grandes montagnes en arrivant dès demain. En attendant le Gallois et le reste du groupe, il y aura donc deux étapes en ligne avec une arrivée en montée et le contre-la-montre en montée de Monte Lussari, ainsi qu’évidemment la passerelle finale à Rome. Trois journées très exigeantes qui peuvent s’avérer explosives, ou une nouvelle démonstration d’attentisme et de tactique.

Une longue journée, mais plutôt sans histoire
Heureusement, les équipes de sprinters ont bien contrôlé tout au long de la journée. J’ai essayé de garder mes jambes le plus possible, même si la fin était très intense et folle, avec des petites routes et des routes sinueuses. Mais ça s’est bien passé. Heureusement il n’a pas beaucoup plu aujourd’hui. Nous sommes tous arrivés sains et saufs et sommes prêts pour les trois prochaines étapes.

Comment voyez-vous l’arrivée de la montagne maintenant : pensez-vous qu’il y aura une gestion de l’effort ou est-ce que ce sera une bataille maintenant sans trop y penser ?
Si demain il pousse trop fort, il n’y aura plus rien pour les deux derniers jours, mais j’ai l’habitude de courir les grands tours et de gérer les efforts maintenant. Nous sommes devant, mais la course est loin d’être gagnée. On verra ce qu’on peut faire, même s’il y aura la possibilité de gagner du temps, ce qu’on aimerait certainement. Mais nous devons voir comment la course évolue.

Lire Aussi  Il y a un an… Vuelta a España 2022, l'organisation veut atteindre 2900 mètres d'altitude

En attendant, demain sera votre anniversaire : quel cadeau aimeriez-vous ?
Porter la Maglia Rosa le jour de mon anniversaire sera certainement agréable, j’espère pouvoir la garder jusqu’à Rome. »

Chantal Martin