La demande de Dani Alves, arrêté pour agression sexuelle, est rejetée

Le tribunal numéro 15 de Barcelone a rejeté la demande de Dani Alves, qui souhaitait être jugé sans détention provisoire par l’intermédiaire de son avocat, et a décidé de maintenir le footballeur en détention.

Les médias espagnols ont écrit que les preuves présentées par l’accusation concernant la culpabilité d’Alves, citoyen espagnol et brésilien, ont été jugées suffisantes par le tribunal et qu’il a été jugé approprié qu’il reste en prison, compte tenu du risque d’évasion.

Contexte de l’incident

Alves, accusé d’avoir agressé sexuellement une femme de 23 ans dans une discothèque de Barcelone dans la nuit du 30 décembre 2022, a été placé en détention à son arrivée à Barcelone en provenance du Mexique le 20 janvier et a été arrêté par le tribunal devant lequel il a été déféré.

Alves, 39 ans, qui a modifié ses déclarations à trois reprises, déclarant finalement qu’il avait « menti dans ses premières déclarations pour cacher son infidélité à sa femme et pour protéger sa femme en admettant des rapports sexuels », a été transféré de la prison de Brains 1 à la prison de Brains 2 le 23 janvier pour des raisons de sécurité.

NOUVELLES DE LA LIGUE ESPAGNOLE

Selon les lois en vigueur en Espagne, Alves risque entre 1 et 12 ans de prison.

Alves, qui a joué dans des équipes telles que Séville, Barcelone, la Juventus, le Paris Saint-Germain et Sao Paulo, a vu son contrat avec l’équipe mexicaine UNAM, où il jouait pour la dernière fois, résilié après son arrestation à Barcelone pour agression sexuelle.

Christine Aubert